La saison culturelle BOURG’ ARTistique

La VANAUDE • “Ne pas Béranger ”

Concert

À l’instar de Sanseverino, 5 vieux briscards ardéchois, ont décidé de reprendre les chansons d’un certain François Béranger, célèbre chanteur à textes des années 70.
Sur des thèmes toujours actuels, Gilles Turier de sa voix puissante, proche de l’originale, ravira les anciens et les plus jeunes au son de sa guitare acoustique. Il est accompagné par Jean-Jacques Niwinski à la basse, Philippe Julliat à la batterie et Serge Bonijoly à la guitare électrique.
Le groupe “Ne pas Béranger” saura vous charmer et réveiller la nostalgie d’une époque révolue.

En première partie, le groupe “Babu come Bach” reprendra des chansons créées jadis par Serge Bonijoly et son beau-frère Didier Chefneux. Les musiciens sont les mêmes mais Gilbert Peregrin, à la voix de velours, saura magnifier ces mélodies envoûtantes aux paroles pleines d’humour et de sagesse, sur des rythmes allant de la ballade au swing, en passant par le blues.

Salle Jacques Esterel • Buvette

Les Frères Jacquard • “Ze Bestoufle”

Trio concert humoristique

10 ans déjà ! C’était il y a 10 ans que les Frères Jacquard décidèrent de dévaler les pentes abruptes de leurs Cévennes originelles. Tout ça, pour partager leur passion de la musique et du détournement.
Pour cette occasion, ils vous en offrent un “Bestoufle” de leurs œuvres, au public de connaisseurs qui les suivent depuis leurs débuts ainsi qu’aux futurs adeptes de la Jacquardie qui vont les découvrir.
De “Still lovin’ ze sud” à “Bourvana“, en passant par “Moustaki” et “Queen Cordy”, il n’y a que du tube label LFJ dans ce pot-pourri !

Salle Jacques Esterel • Buvette
Plein tarif : 15 € / adulte

Les 3 becs • “La centième nuit ”

Chanteurs-comédiens

3 chanteurs-comédiens (ou inversement) : Claire Guerrieri, Robert Bianchi et Christopher Murray. Des chansons (plein !) dans tous leurs états : solo, duo, trio, accompagnées, a cappella, harmonisées à plusieurs voix, tout y passe ou presque. Et même, et même… des Fabulettes (une pincée) !
Des instruments : piano, guitares, djembé, kazous-cymbale(!), chapeaux…
Des chorégraphies (improbables), des transitions (incongrues), des cours de sémantique et de musicologie (sylvesterienne!), du masque, de l’amour, de l’humour, du tango, des (vraies) colères, de la (fausse) frime, de l’amitié… Un spectacle chatoyant qui met en lumière la profondeur, la tendresse et l’humour ravageur d’une artiste au regard acéré et unique.

Salle Jacques Esterel • Buvette

La Barak • “La vente”

Pièce de théâtre
En première partie : le groupe de hip-hop de l’Espace Déôme avec Vincent Esteban

Construit autour de 6 pièces de Tchekhov, ce spectacle invite le public à participer à la veillée funèbre de Mamie Lioubov (personnage central de La Cerisaie). Dans cette fresque familiale sont évoqués autant l’amour que le deuil et la complicité face à la difficulté que représente la disparition de nos repères. L’absurdité et la drôlerie donnent une réponse possible à la crise que les personnages traversent suite à la perte de leur grand-mère et qui les renvoie à ce qu’il reste de leurs souvenirs d’enfance.

Toute l’œuvre de Tchekhov est parcourue d’un mouvement global : la fin d’un être et le début d’une autre, alors que la modernité pointe le bout de son nez, et que le domaine est endetté. Ainsi, il s’agit de recomposer, à travers ces 6 pièces, une nouvelle forme, comme une lettre d’amour adressée aux thématiques qui les traversent, et à l’œuvre en elle-même.

Salle Jacques Esterel • Buvette
Plein tarif : 15 € / adulte

Cie Ode Mélodique • “Évocation espagnol“

Concert

Elles sont deux, guitariste et chanteuse, à mêler leurs cordes pour nous emmener en voyage dans une Espagne révolue et fantasmée.

Salle Jacques Esterel • Buvette

Cie Juste à temps • “The Klubb Konsert”

Cirque musical

En 1975, le pianiste Keith Jarrett, hésitant à jouer ce soir-là, entama, en imitant la sonnerie d’entrée de la salle de spectacle, une improvisation magistrale d’une heure, et fut ainsi enregistré le fameux concert de Cologne : le “Köln Concert”. C’est ce moment de grâce qui sert ici de socle et de trame, dans un balai où notes et mouvements jonglés s’entremêlent, virevoltants, et l’artiste en scène brouille les pistes, avec pour instrument un piano pas tout à fait ordinaire.
Le spectacle se décompose donc en plusieurs parties à l’image du concert original, formant une seule et même partition, un dialogue entre la jongle et le jazz, à la fois directement physique par la mécanique des objets, et plus intangible par le mouvement et la musique, la vibration. L’intérêt
de cette approche du jazz est son aspect totalement improvisé, c’est un voyage dont on ne connaît pas la destination.

Square Jarrosson (repli sous la halle en cas de mauvais temps)